Le 3 octobre à Argenton-sur-Creuse (36), le CNDB et Arbocentre organisent une journée de formation : logements collectifs : solutions constructives mixtes bois et béton.

Cette formation a pour objectifs :
? de comprendre les spécificités de conception et de mise en ?uvre de constructions mixtes bois et béton.
? de maîtriser la mise en ?uvre des solutions mixtes bois et béton dans le logement collectif, jusqu’à R+7.

Elle s’adresse aux maîtres d’?uvres, maîtres d’ouvrage, BET généralistes, bureaux de contrôle, techniciens de la fonction publique et du cadre bâti, économistes de la construction, entreprises générales, entreprises de gros ?uvre et de 2nd ?uvre.

Cette formation sera composée de 2 parties :
–  Le matin, un apport technique en salle permettra de découvrir les raisons de cette mixité ainsi que les différentes solutions constructives recensées.
– L’après-midi sera consacrée à la visite d’un chantier composé de 4 bâtiments de logements sociaux de 1 à 4 étages. Ces 4 bâtiments sont à des stades d’avancement différents et permettront une meilleure approche de la mixité bois/béton. En présence de M. Emmanuel Alass?ur, architecte de l’opération et de M. Audichon responsable du chantier pour l’OPAC 36.

Pour télécharger le formulaire d’inscription, cliquez ici.

Le nouveau Delta®-Liquixx FX permet de raccorder les membranes pare-vapeur de la gamme Delta® (Delta-Fol, DBF, Delta-Reflex, Delta-Sparxx M1?) avec tous les matériaux : maçonnerie, béton, bois, plastiques? grâce à une membrane solide et flexible. Cette membrane résulte de l’alliance d’un revêtement fonctionnel pâteux à viscosité structurelle élevée (à base de résine acrylique en phase aqueuse) à un géotextile élastique et résistant.

Les tests réalisés durant plusieurs mois auprès de professionnels de la construction ont démontré que Delta®-Liquixx FX est une solution plus économique que les rubans adhésifs, colles et autres manchons. Delta®-Liquixx FX est également plus rapide à mettre en ?uvre (gains de temps) et surtout plus sûre pour garantir la réussite de la mise en ?uvre de l’étanchéité à l’air et le succès aux tests de perméabilité à l’air (Blower Door©,
perméascope?).
Delta®-Liquixx FX, vainqueur du trophée d’excellence aux derniers salons Batimat et Nordbat, est donc l’accessoire par excellence pour assurer la tranquillité des professionnels de la construction.

www.doerken.fr

Le système constructif de l’ossature bois ne date pas d’hier. Il a cependant évolué et permet aujourd’hui de réaliser des maisons et bâtiments légers, économiques et d’une grande souplesse architecturale.

La technique la plus utilisée pour la construction de bâtiments en bois est sans conteste l’ossature en bois et plus particulièrement celle dite à plateformes où chaque plancher sert d’appui à l’ossature du niveau supérieur. À cela, de nombreuses raisons. Les maisons, les immeubles et les extensions à ossature bois sont plus légers et se déploient donc sur n’importe quel terrain. Ils sont plus économiques puisque sont utilisés de petites sections de bois. Le chantier est rapide, voire très rapide et propre en cas de préfabrication des éléments en atelier. Enfin, l’ossature bois offre une grande souplesse architecturale.

Les règles de construction sont définies dans un Document Technique Unifié, le DTU 31.2. Les sections de bois couramment utilisées sont les 120×45 mm et les 140×45 mm. Les montants doivent être espacés de 40 à 60 cm. Ils sont cloués sur deux traverses (la lisse basse et la lisse haute). Chaque ouverture donne lieu à des montants de renfort, des montants d’allège, des traverses haute et basse, et un linteau. L’isolant prend place entre les montants.

Le contreventement nécessaire à la rigidité du squelette en bois s’effectue à l’aide de panneaux dérivés du bois cloués sur l’ossature côté intérieur ou côté extérieur. Dans tous les cas, un pare vapeur est fixé sur l’ossature en face intérieure. Ensuite vient le contreventement puis le parement intérieur ou directement ce dernier si le contreventement est à l’extérieur. Sur la face extérieure de l’ossature, les couches se succédant sont (de l’ossature vers l’extérieur) le contreventement, le pare-pluie, l’ossature secondaire et le bardage ; ou le contreventement, un isolant et la vêture extérieure. Si le contreventement est intérieur, le pare-pluie ou la vêture extérieure sont directement fixés sur l’ossature.

Pascal Nguyên

C’est la première couche de protection de votre maison en bois. Horizontal, vertical ou même oblique, le bardage protège vos murs des chocs et il est le premier rempart contre les précipitations. C’est aussi lui qui donne tout son charme à une maison bois, il a un rôle esthétique. Le pare pluie placé derrière celui-ci joue, quant à lui, le rôle d’imperméable.

Le bardage en bois est le revêtement extérieur de façade constitué de lames de bois, massif ou non, de bardeaux ou de panneaux dérivés du bois. Le bardage forme ainsi la couche qui protège la construction des précipitations (pluie, neige, grêle). Il permet un bon écoulement de l’eau. Les règles techniques de la pose d’un bardage en bois sont précisément définies dans un Document Technique unifié, le DTU 41.2. Il y est notamment stipulé que le bardage doit se trouver à plus de 20 cm du sol. Afin d’évacuer l’humidité due à d’éventuelles infiltrations et à la condensation, une lame d’air doit être aménagée entre le bardage et le revêtement extérieur de la paroi à protéger.

La fixation des lames et bardeaux sur les chevrons ou les tasseaux de l’ossature secondaire s’effectue le plus souvent par clouage. Les lames de bois sont posées de manière horizontale, verticale ou, plus rarement, oblique. Elles peuvent être assemblées par emboîtement – dans ce cas, elles possèdent rainures et languettes – ou par recouvrement pour les lames non bouvetées ou à feuillure. Occasionnellement, les lames peuvent être posées à claire-voie. Les bardeaux sont posés par recouvrement. Quant aux panneaux de dérivé de bois, ils disposent de leur propre dispositif de pose qui doit bénéficier d’un Avis technique délivré par le CSTB.

Les essences utilisées pour les lames et les bardeaux sont le douglas, le sapin, le pin, le mélèze, l’épicéa, le red cedar, le châtaignier, le chêne, le robinier et occasionnellement le peuplier. Les éléments doivent afficher un taux d’humidité moyen de 18 % maximum lors de leur mise en œuvre. Certaines essences n’étant pas naturellement résistantes aux attaques de champignons et d’insectes, elles doivent être traités.

Pascal Nguyên

Un chalet dans les alpages? Une ambition classique pour les amoureux de la montagne ? Pas pour Renaud Giroud, architecte de formation, qui ne voulait pas « d’une éternelle copie d’un chalet traditionnel ». La modernité est le fil rouge de sa maison, tout en « travaillant avec des gens et des matériaux locaux ».

La structure a ainsi été réalisée par des charpentiers de la vallée, comme les murs en granit. Et la technique de construction en poteau-poutre est typique de la région.

L.B.
© Renaud Giroud, Atelier 199, www.atelier199.com, Jeremy Wilson, www.jeremywilsonphoto.com, Cyril Porchet

Retrouvez le reportage complet dans le n°2 d’Eco Maison Bois.

Une pépite que ce terrain de 500 m2 situé dans la banlieue lilloise ! Un coup de foudre pour ses acquéreurs, et un défi pour l’architecte : quel type de fondation pourrait permettre d’ancrer une habitation dans un sol tout en racines de tilleuls, chênes et autres pins noirs ? Qui plus est, dans un secteur « parc » où tout arbre abattu doit être remplacé par quatre jeunes pousses?

Réponse : des pieux d’acier battus à 6 m de profondeur. Avec, par-dessus, une structure en ossature bois pour limiter la charge. La technique du « pieu battu », particulièrement adaptée à un sol de faible capacité, permet de réaliser des fondations dans des terrains meubles en battant un pieu béton ou acier dans le sol.

L.R.
© JP DuplanLightmotiv

Retrouvez le reportage complet dans le n°2 d’Eco Maison Bois.

C’est en Suisse orientale, au milieu des vignes, que Pierre Honegger a réalisé cette habitation standardisée labellisée Minergie P (pour passive) – Eco (pour écologique). Après avoir fait évoluer ses réalisations selon les préceptes Minergie-P®, l’architecte s’est concentré sur les améliorations à apporter aux bâtiments pour qu’ils obtiennent le label Minergie-Eco®, garant d’une construction saine et écologique.

La maison de Lanzenneunforn offre les dimensions classiques des habitations standardisées de l’architecte : 8 m par 12 m, avec un étage et un sous-sol chauffé (garage excepté) et aménagé. « Bien évidemment, c’est l’orientation du terrain qui décide de l’organisation des lieux. Le client peut choisir un toit-terrasse ou un toit pentu. Dans ce cas, les propriétaires sont des personnes très soucieuses de protection de l’environnement et d’économies d’énergie ; Aucun des matériaux de construction utilisés ne contient de produits dits toxiques, de ceux que l’on trouve dans certaines colles ou certains vernis. Tous les corps de métiers, charpentiers, menuisiers? ont fourni des déclarations garantissant l’utilisation de produits sains pour l’organisme. »

L.R.
© PH

Retrouvez le reportage complet dans le n°2 d’Eco Maison Bois.

C’est en visitant une maison témoin à Montreux que les heureux propriétaires de ce petit bijou d’habitat se sont tout de suite laissé séduire par la marque de fabrique « bois et verre » de Huf Haus. Les grandes surfaces vitrées sont un des principes architecturaux d’Huf Haus car « le bois associé au verre, dans un esprit de transparence, réunit l’intérieur et l’extérieur », précise Madame L. L’élégance de la maison nait en effet de la combinaison d’une architecture classique associée à la modernité de l’alliance de ces deux matériaux nobles.

L.B.
© Huf Haus

Retrouvez le reportage complet dans le n°1 d’Eco Maison Bois.

« À l’époque de cette construction, les isolants alternatifs à la laine minérale étaient onéreux, souligne Jean-Luc Le Guennec, architecte. Aujourd’hui je préconiserais sans doute l’usage de la ouate de cellulose ou autre, mais à épaisseur comparable la laine minérale reste un bon produit. » À l’extérieur le bardage en red cedar, que les propriétaires ont laissé volontairement grisé, adopte deux visages : en lame pleine dans la partie basse et à claire-voie dans la partie haute et le garage afin de rompre avec l’uniformité du bois. Quant à la toiture, elle est en ardoise, toujours pour respecter l’architecture locale, sur une pente à 45° et avec pour isolant une couche de 240 mm de laine minérale.

douceur et chaleur 2

B.A.
© Armel Istin

Retrouvez le reportage complet dans le n°1 d’Eco Maison Bois.

Prix du public
Q House

-> Retrouvez toutes les photos ainsi que les plans dans le livre numérique en téléchargement gratuit en cliquant ici.

Création : mars 2011
Localisation : Angers (Maine-et-Loire)
Situation : en sortie de ville, secteur pavillonaire
SHON : 160 m2
Coût TTC : 390 000 euros

Antoine Lacaze & Charles Mantoux, Alcmea Architectes ?
2, rue Chabanais – 75002 Paris
01 75 43 03 26 – 06 62 26 08 62
contact@alcmea.comwww.alcmea.com

Présentation
Fonctionnelle et rationnelle, cette maison offre une possibilité de vivre
en adéquation avec le jardin, par un jeu d’ouvertures multiples et généreuses. L’organisation spatiale est très claire, la partie jour s’ouvre généreusement sur le jardin et la partie nuit est filtrée par la présence d’un coursive et de panneaux coulissants perforés. Cet ensemble permet de garder un intimité tout en
profitant au maximum de l’environnement extérieur. Le niveau BBC est visé.

Structures, murs, fermetures, toiture
Fondation béton, ossature bois avec bardage en lattis châtaignier et panneaux coulissants en Kerto. Toiture en bac acier isolé, menuiseries aluminium et volets motorisés bois.
l Entreprise du lot bois : Tikopia (charpentier bois)
Parc de Mios entreprises – 33380 Mios – 05 57 71 24 80
tikopia@tikopia.fr – www.tikopia.fr

Isolants
Ouate de cellulose insuflée et panneaux fibre de bois.

Aménagements intérieurs
Sol béton et parquet, séparation des pièces avec ossature bois et plaques de plâtres y compris au plafond. Menuiseries et rangements bois.

Chauffage
Plancher chauffant basse température.

Eau chaude
Production eau chaude par panneaux solaires en toiture couplés à la chaudière basse température du plancher chauffant.

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